Voici les témoignages publiés dans le dernier Semailles en Lauragais de personnes ayant vécu le Congrès Mission sur notre ensemble paroissial.
DENISE/ UN BANQUET WAOUH !
J’ai ressenti l’unité des groupes, j’ai vécu le partage. Nous avons tout partagé grâce à la Parole qui nous été donnée…
Il y avait un esprit de famille. Habituellement quand on va à l’église, on rencontre les paroissiens, on se dit bonjour, on se fait un sourire et puis c’est tout. Durant ce banquet, on a pris le temps de s’écouter, de se parler, de se regarder. On ne se connaissait pas et au moment du départ on avait déjà envie de se revoir.
Et enfin j’ai chanté, j’ai dansé. La chorale des Minimes qui a animé la fin du banquet était extraordinaire. C’était une grande fête, une fête pour tous.
Un grand grand merci à toute l’équipe qui a préparé parce que c’était WAOUH !!!
MICHÈLE/ LE TEMPS DU RENOUVEAU
Eloignée de la paroisse depuis plusieurs années, j’ai le désir de retrouver ma communauté. Je me sens accueillie, je retrouve plein de vieux copains.
La Mission ? Elle prend du sens à travers notre vie, à travers ce que l’on est même si ça ne marche pas toujours. Je suis plus Marthe que Marie, j’ai besoin de témoignages concrets, la table ronde sur la collaboration prêtres/laïcs m’a beaucoup intéressée. Ma présence
ÉTIENNE ET SA MAMAN/ UN CONGRÈS EN FAMILLE
(Etienne) J’ai d’abord participé à une table ronde sur l’écologie intégrale, source d’espérance pour le monde. J’ai été surpris de l’intérêt et des connaissances de l’assemblée dans ce domaine. On a pu aller en profondeur dans une rencontre très participative. Un échange beaucoup plus horizontal.
Ce nouveau format du Congrès Mission est très chouette. Il permet de mieux discuter, de mieux se rencontrer ; il y a une buvette, les gens passent d’un lieu à l’autre. Et je suis aussi allé à l’adoration.
(La maman) J’ai participé à l’évangélisation de rue. On a été bien préparé, bien encadré, une belle aventure ! En partant, j’avais un peu d’appréhension, surtout de déranger les personnes abordées, et finalement j’ai fait de très
ANTOINE ET ISAURE/ LA JOIE DE LA MISSION
(Isaure) La Mission c’est servir. Au patronage, on donne beaucoup mais on y gagne tellement de joie. Et par le fait de donner on s’est créé tout un groupe d’amis avec lesquels on partage beaucoup de choses et ça c’est très précieux.
(Antoine) Je ne sais pas vraiment si le Patronage est pour moi une Mission mais je ressentais un très grand besoin et une grande envie de servir mon prochain et de l’aider. Le Père Aymar m’a proposé de devenir animateur au patronage. Il m’a
FRANÇOISE/ LA SOIF DE COMPRENDRE
J’étais contente d’être là, j’ai vu du monde ; la buvette est un lieu stratégique, un lieu de rencontre. J’aime servir plus que parler. Petit bémol, forums et tables rondes se déroulaient parfois en même temps. J’ai quand même pu aller à une table ronde très intéressante sur la collaboration prêtres/laïcs. J’ai appris plein de choses, à presque 70 ans ! Par exemple à la messe, je n’aime pas me lever, me mettre à genoux…Mais si on me l’expliquait, si je savais que ça avait du sens, je goûterais beaucoup plus la messe. J’aurais envie qu’il y ait plus de formations et d’enseignement. Quand on comprend et que les choses prennent du sens, c’est le paradis.
VÉRONIQUE/ VENIR AU CONGRÈS ÉTAIT UN BESOIN
Je voulais absolument avoir des échanges, ce que j’ai eu, et participer à des tables rondes sur des sujets très intéressants que je ne connaissais pas. Voir tous ces sourires fait beaucoup de bien. J’aime me mêler à tous ces gens qui viennent pour le bien de la paroisse. Devant le Saint-Sacrement, pour porter le Congrès, des gens prient tout au long de la journée. Une chaine de prière, le monde en a tellement besoin.
Être missionnaire, c’est apporter, annoncer la Parole de Jésus autour de soi, pas besoin d’aller très loin.
Cette journée m’a beaucoup apporté, je remercie vraiment la paroisse.
FRANÇOIS/ UN TEMPS DE GRÂCE
Je n’avais jamais pris le temps et ce Congrès Mission est une excellente occasion de découvrir les lieux, les personnes, un temps de grâce.
Mon épouse et moi-même étions habitués aux grands Congrès, ce qui est très bien pour la visibilité de l’Église mais le fait que l’évènement soit délocalisé en une multitude de lieux en France va dans le sens de la subsidiarité. Cette façon d’être et de faire montre également la proximité de l’Église et met en lumière ce nom « Jésus Emmanuel » c’est-à-dire Dieu avec nous à chaque instant de notre vie, en tout lieu.
Le missionnaire est celui qui est envoyé. Ce terme me renvoie aux derniers versets d’un Évangile : « Voici que je vous envoie, allez dans le monde entier, faites des disciples et baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. » Je dirai que la Mission fait partie de la nature du Chrétien. C’est ce que nous demande le Christ : annoncer l’Évangile et témoigner du Salut.